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HISTORIQUE |
Le quidditch est un sport né dans les marais du Queerditch, d’où son nom. Son évolution au fil des siècles a engendré de nombreuses transformations au niveau de ses règles comme par exemple le droit de posséder une baguette magique dès 1692.
Au départ, les buts étaient constitués de grands paniers
fixés sur des poteaux. Ce n’est qu’en 1883 que l’on
cessa d’utiliser des paniers au profit d’anneaux.
A l’origine le souafle était une simple balle cousue équipée
d’une lanière qui permettait de l’attraper et de le lancer
de manière adéquate. Certains étaient équipés
de trous pour passer les doigts. Avec la découverte du sortilège
d’empogne en 1875, il ne nécessitait plus aucune lanière,
ni aucun trou.
Les cognards, autrefois appelés cognoirs, étaient initialement
des pierres volantes, taillées en forme de balle. Elles présentaient
cependant l’inconvénient de se briser facilement sous le choc
des coups de batte, ce qui créait du gravier. Les cognards en plomb
firent leur apparition au début du XVIème siècle mais
ils ne résistaient pas à la force des battes qui les déformaient.
Ainsi, ils ne pouvaient plus suivre une trajectoire rectiligne. Le fer a donc
été privilégié en tant que matière résistante.
Le vif d’or n’existait pas au début du jeu de quidditch.
Un oiseau, nommé vivet doré, était alors employé
en raison de sa rapidité et de sa vivacité. Dès le quatorzième,
il est considéré comme une espèce protégé
mais cela n’empêche pas les matchs de quidditch de perdurer. C’est
Bowman Wright qui inventa le vif d’or.
Le gardien avait à la base le même rôle que les poursuiveurs,
avec une responsabilité supplémentaire. Ils avaient donc le
droit de se déplacer sur toute la longueur du terrain et de marquer
des buts. Ce n’est qu’au début du XVIIème siècle
que la tâche a été simplifiée.
Le poste de poursuiveur est le plus ancien du quidditch car à la base
le jeu consistait seulement à marquer des buts. En 1884, il y eu un
changement significatif dans son rôle. Une nouvelle règle fut
alors introduite stipulant que seul le poursuiveur en possession du souafle
avait le droit de pénétrer dans la surface de but. Si plus d’un
poursuiveur y était présent, le but était annulé.
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